Fabrice a suivi la première session de formation Data Analyst du CEFIM en 2019. Dès la fin de sa période de stage, Fabrice a obtenu une lettre d’engagement de son futur employeur et évidemment dès la fin de la formation et l’obtention de son titre professionnel il a intégré la société WDK Group Partner en tant que développeur X3 et BO.
Il est désormais très occupé, mais il a pris du temps pour témoigner de son parcours et de son expérience de formation au CEFIM.
Peux tu nous raconter ton parcours et pourquoi tu t'es adressé à CEFIM pour ta formation ?
Je viens des sciences humaines et sociales, et plus particulièrement de la Géographie. Pendant ma formation initiale, ce sont les modules de Statistiques et de Cartographie qui m’ont le plus marqué et j’en ai fait mon premier métier.
Par la suite, j’ai pratiqué la fonction commerciale, en B to B, et j’ai eu la chance de diffuser ce que j’estimais être de bonnes pratiques au sein de mon service (sectorisation commerciale, reporting, monitoring, qualification et qualité des données…).
Pourquoi le CEFIM ? Parce que j’étais disponible, parce que la formation était inédite en Touraine, et parce que ça correspondait à un double besoin : remettre ma pratique d’équerre et parfaire le reste, dont j’ignorais presque tout. Concrètement, j’étais à l’aise avec Excel et les fondamentaux des bases de données, mais je ne savais ni lire ni écrire le moindre mot en SQL ou en Python par exemple.
Dans cette optique, le contenu de la formation couvrait ces deux besoins. Le CEFIM ayant par ailleurs excellente réputation, c’était une opportunité à ne pas laisser passer.
C'est quoi un data analyst et pourquoi tu aimes ce métier ?
La définition n’est pas figée mais de mon point de vue, le cœur de métier du data analyst, est d’analyser des données statistiques et de permettre/faciliter/optimiser… l’analyse de l’ensemble des données de l’entreprise (ou de l’organisation) par ceux qui la produisent.
Le métier est très complet. On alterne des moments d’échange en équipe, de présentation, de création ou de développement. Des moments d’intuition et de réflexion. Le champ des possibles est encore très vaste et c’est grisant.
Quel est le sujet qui te passionne le plus ?
La visualisation ou #dataviz, en particulier quand elle est interactive. On voit depuis quelques années déjà apparaitre des outils comme Qlik, SAP BI, Tableau ou Power BI qui permettent de faire vivre un questionnement et d’accompagner la prise de décision.
On est loin des projets à la mode. On n’est pas nécessairement dans le Big Data. Mais on peut obtenir des résultats et créer de la valeur très rapidement.
Comment c'est possible de trouver un emploi tout de suite après la formation ?
Selon mon expérience, en misant sur le stage ! On dispose de suffisamment de temps pour surprendre et convaincre « sur pièces » ou obtenir des recommandations.
On peut grenouiller également, à minima sur Linkedin et pas exclusivement dans le domaine de l’IT.
Et puis, on peut produire quelques pièces qui permettront à de prochains employeurs/clients/associés… de se projeter.
Avec les données ouvertes de l’INSEE, de l’IGN, d’Infogreffe… et les outils disponibles sur le marché, il y a la matière pour se faire plaisir.
La promo "DataOne" 2019
Quel est ton meilleur souvenir de cette formation ?
Le combo Chamallow / Spaghettis : record battu !
Plus sérieusement, c’est le mix entre l’ambiance du CEFIM, les progrès réalisés, le bon esprit du groupe et la qualité des intervenants qui ont fabriqué un unique -meilleur- souvenir.
Quel est ton pire souvenir de la formation ?
Ce n’est pas exactement un mauvais souvenir mais les certifs RGPD et SecNum, c’était vraiment pas ma came…
C'est quoi les blagues de data analyst ? Vous avez des infographies hilarantes ou des gif animés secrets ?
Perso, j’aime bien les blagues à base de discrétisation (mais il faut la faire très très souvent. Poke #dataone 😉 ).
Pour les gifs, ce cher Sheldon #BigBangTheory clamant « it’s a trap ! » colle bien avec un data fail ! On passe tous par là…
Quels conseils donnerais tu à de futurs étudiants qui se pose la question de faire une formation Data au CEFIM ?
Au moment de candidater, je leur conseillerais de prendre le temps de faire quelques recherches concernant la grammaire des graphiques et la sémiologie graphique de Jacques Bertin (cocorico !).
De prendre le temps aussi de bien parcourir le programme de formation et de classer les éléments par ordre de préférence, comme ça intuitivement.
Enfin et si ce n’est pas déjà fait, je leurs conseillerais de prendre le temps de réfléchir dans un endroit calme, loin de toute source de sollicitation, avec juste une feuille et un crayon.
A partir de là, l’envie fera le reste, ou le manque d’envie répondra aux questions…
Un truc dont tu veux absolument nous parler ?
La profession est promise a un bel avenir si et seulement si nous faisons en sorte qu’elle soit inclusive. L’éthique, la confiance, la transparence sont des sujets qui vont monter en flèche avec l’avènement du machine learning et de l’IA.
Nous avons eu la chance d’avoir une promotion #dataone presque mixte, et je suis convaincu que le CEFIM a œuvré en ce sens. Mais je suis certain qu’on peut aller encore plus loin. Dans la data en particulier, et dans le digital en général, on doit continuer de faire sauter les verrous et pousser encore notre avantage.
#jamaissanselles